Aujourd’hui bouteilles plastiques ont été évitées grâce à nos fontaines.

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Les microplastiques, quels risques pour la santé ?

Les microplastiques, quels risques pour la santé ?
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A l’heure d’une réelle prise de conscience concernant l’impact du plastique sur notre environnement, la question du plastique invisible (ou non) se pose désormais. C’est environ 8 millions de tonnes de déchets plastiques qui s’accumulent chaque année dans l’eau de notre belle planète. Autant de plastique qui s’accumule et qui finit inévitablement par se dégrader dans nos mers et océans.

A l’heure d’une réelle prise de conscience concernant l’impact du plastique sur notre environnement, la question du plastique invisible (ou non) se pose désormais. C’est environ 8 millions de tonnes de déchets plastiques qui s’accumulent chaque année dans l’eau de notre belle planète. Autant de plastique qui s’accumule et qui finit inévitablement par se dégrader dans nos mers et océans. La pollution liée au plastique ne concerne pas seulement le plastique que nous voyons et les déchets visibles mais également les particules les plus petites appelées microplastique. Les microplastiques sont des petites particules de plastiques qui ne sont en fait pas plus grandes que 5mm. Elles peuvent à l’heure actuelle être retrouvées un peu partout sur terre et de plus en plus dans les organismes des espèces vivantes sur Terre, dont nous faisons partie. Les études qui sont établies à l’heure actuelle, démontrent que désormais, il est parfois possible de trouver des traces de microplastique dans notre sang. Tour d’horizon sur ce danger, qui envahit notre planète et nos corps.

Les différents types de microplastiques

Cela n’est plus un secret : la fabrication de plastique pollue énormément. En effet, cette industrie nécessite une grande capacité d’extraction de pétrole, et une utilisation d’additifs particulièrement nocifs pour la nature. Pour bien cerner le sujet, nous vous proposons de faire un point sur les différents types de microplastiques existants.

Les microplastiques primaires

A l’heure actuelle, les recherches ont pu mettre en avant deux types de microplastiques. Tout d’abord, il existe les microplastiques primaires. Ce type de plastique est directement rejeté dans l’environnement sous forme de particules. Aussi, on estime que ce type de plastique représente entre 15 et 31% de la totalité des microplastiques présents dans les océans. La question que nous pouvons nous poser est de savoir d’où vient exactement ce pourcentage de micro plastique ? D’après certaines études, 35% de ces microplastiques proviendraient du lavage des vêtements synthétiques et ce, notamment à cause des matières plastiques utilisées lors de la création de ceux-ci. Nos véhicules participent également à la pollution de la planète. Environ 28% des microplastiques retrouvés dans les océans proviendraient en fait du frottements des pneus de nos véhicules sur la route. Pour finir, 2% proviendraient de nos différents cosmétiques.  

Les microplastiques secondaires

Viennent ensuite s’ajouter ce que nous appelons les microplastiques secondaires, qui sont principalement issus de la dégradation ou de la transformation d’objets plastiques se retrouvant en mer. A titre d’exemple, les bouteilles plastiques, pailles et autres sacs, immergés dans l’eau sont soumis aux contraintes climatiques et ont tendance à se dégrader en minuscules morceaux, se transformant ainsi en microplastique. Ce type de microplastiques représenterait selon les études, entre 70 et 80% des microplastiques que nous pouvons trouver dans les océans.

Ces plastiques polluants débutent leur cycle de vie, la plupart du temps sous forme de granulés qui servent généralement à fabriquer des biens de consommation en plastique. Ceux que nous retrouvons dans nos milieux naturels proviennent en fait de pertes industrielles involontaires lorsque celles-ci sont transportées.

Contamination de la faune et la flore par les microplastiques

De nos jours, les recherches estiment qu’environ 10% de la production de plastiques fini entre autres, dans nos océans. Parmi ces plastiques le polyéthylène et le polypropylène tout comme le polystyrène, sont les plastiques les plus fréquemment retrouvés dans les milieux naturels. Ces différentes variétés de plastiques sont généralement constituées de polymères mais également d’additifs plus ou moins variés qui s’avèrent être de probables contaminants chimiques. Etant présents dans tous les milieux naturels présents sur Terre, les microplastiques sont donc une véritable menace pour la qualité de vie de la faune et la flore terrestre et maritime.

En effet, après ingestion de ces microplastiques par la faune maritime ces nano particules de plastiques se retrouvent au fur et à mesure, de plus en plus présentes dans la chaine alimentaire, contaminant ainsi l’intégralité de cette dernière jusqu’à remonter à celui qui en est la cause : l’homme.

Difficile à l’heure actuelle d’estimer de quelle manière le microplastique est nuisible pour la santé humaine et à quelle hauteur cela peut nous affecter. Cependant, de nombreux chercheurs ont pu constater ces dernières années que les microplastiques agissent comme des perturbateurs endocriniens et comme des aimants à toxines environnementales. Concrètement, cela veut dire que les substances toxiques s’accumulent à leur surface. Un constat qui fait froid dans le dos.

Legislation

Législation quant aux microplastiques, où en est-on ?

Les Nations Unies ont déclaré en 2017 qu’environ 51 trillions de particules se trouvaient dans l’océan. Un chiffre qui a de quoi donner un sacré vertige…  

Cependant, les choses avancent doucement, notamment grâce au travail de certains lobbys qui suggèrent aux entreprises de supprimer le plastique de leurs produits cosmétiques. En France en 2021, le Sénat a voté à l’unanimité une proposition de loi afin de lutter contre la pollution plastique. Le texte aborde notamment la question des microbilles plastiques. Le texte aborde notamment l’obligation selon laquelle les sites industriels concernés par l’utilisation des microplastiques devraient déclarer annuellement leurs pertes de granulés. Ce texte prévoit également d’interdire l’ajout intentionnel de microbilles plastiques dans les détergents à compter du 1er juillet 2022. Les sénateurs ont également adopté un amendement pour lutter contre l’emploi des granulés de plastique sur les terrains de sport en matière synthétique qui seraient mis en service à partir de 2026. Affaire à suivre.

Réduction des microplastiques : Quelles solutions ?

Chez Waterlogic nous souhaitons participer à la réduction de la prolifération de ces microparticules. C’est pour cela que nous avons mis au point des fontaines à eau éco-responsables. Nous vous proposons des solutions pour obtenir une eau filtrée, purifiée et sécurisée à 99,9999%. Nous vous proposons des produits et des services qui sont durables dans le temps dans le but de participer à la préservation de notre planète. Exit les bouteilles d’eau, avec notre système de fontaines directement reliées au réseau d’eau, en quelques années Waterlogic a permis d’économiser environ 23,8 milliards de bouteilles plastiques et donc de microplastiques. Un chiffre dont nous sommes fiers. En plus de cela, nous sommes constamment à la recherche de moyens efficaces pour réduire notre consommation d’énergie, éliminer les émissions de transports inutiles. Nous utilisons des matériaux non toxiques et naturels et limitons nos déchets tout au long de notre chaîne de production. Retrouvez toute notre gamme de fontaines à eau ici : https://www.waterlogic.fr/fontaines-a-eau/

L’achat en vrac, le passage aux cosmétiques solides et sans emballages ainsi que l’achat de vêtements d’occasion peuvent également être des solutions afin de limiter son impact sur la planète.